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Hémocalorthérapie
Guérir du coronavirus et des maladies virales ?

» 18 janvier 2022 : la tuile

18 janvier 2022 : la tuile

mercredi 18 mai 2022

Mardi 18 janvier 2022

 

Je prends mon vélo, j’ai une prise de sang à faire, à jeun.

Il est huit, heures, je me gare dans la cour du labo.  Il y a déjà la queue, alors que les tests pour le covid ne commencent qu’à 10 heures.

Je me fais piquer au bout de quelques dizaines de minutes, je remonte sur mon deux roues et rentre chez moi.

Il y a quelques jours j’ai fait une échographie des poumons qui a révélé la présence indésirable d’eau.

Mon médecin de famille alerté m’a ordonné toute une batterie de tests sanguins.

A midi, ce mardi, le médecin du laboratoire d’analyses m’appelle catastrophé :

« Vous êtes en train de faire un infarctus du myocarde, rendez-vous aux urgences, aussi vite que possible. »

Il m’envoie mes analyses par internet.

Je constate que mon taux de protrombine est à 2460, pour un maximum toléré de 30. Signe clinique de l’infarctus.

Je n’ai jamais eu de douleur dans la poitrine ou connu d’essoufflement.

La surprise est totale.

Ma femme prépare un sac avec quelques affaires et nous nous rendons à la Clinique Cardiologique du Nord à Saint-Denis.

Elle me conduit jusque devant l’entrée, et va se garer.

Le planton me demande mon pass sanitaire, je lui montre ma feuille d’analyses indiquant l’infarctus.

Il m’ordonne : «  montez   au 2e, ils sauront quoi faire ».

Au sortir de l’ascenseur je me dirige vers l’accueil. Un infirmier m’interroge :

« Que puis-je pour vous ? »

Ma réponse :

« Je suis en train de faire un infarctus… »  Cela lui arrache un « sans déconner ! 

Oui, sans déconner. »

Il lit mes analyses de sang.

Dans la minute qui suit je suis installé sur un brancard et dirigé vers les soins intensifs.

Tous les soignants me réconfortent, ils sont à la fois très professionnels et chaleureux.

Je les observe avec empathie.

Pour mille raisons je suis très calme.

A l’examen corporel, je n’ai pas de signes cliniques classiques. Le cardiologue m’explique que je suis asymptomatique, car mon diabète de type 2, quelquefois, atténue les douleurs.

En moins d’une heure les résultats de l’analyse de sang tombent.

En plus de l’infarctus, je suis positif au covid19

Les médecins qui me l’annoncent sont à l’évidence très ennuyés. Ils ont décidé de me placer à l’isolement dans une chambre sans fenêtre.

J’ai 68 ans, je suis cardiaque, diabétique, vacciné deux doses depuis plus de quatre mois. Je réunis les critères d’une mauvaise issue. Mon covid risque d’être catastrophique…. pour eux !

J’hésite une seconde, puis, les regardant tour à tour, je déclare :

« Pour mes problèmes cardiaques, je vous fais entièrement confiance.

 « Pour le covid, je suis sur la terre, la seule personne qui sait s’en guérir scientifiquement. J’ai juste besoin que la température de ma chambre soit montée à 24-25°, et que vous me fournissiez deux couvertures supplémentaires.

-Vous semblez très sûr de vous.

-J’ai ouvert le site internet covid19vaincu.com, depuis plusieurs mois, malgré de multiples démarches auprès des autorités, des banques, des parlementaires, de journalistes, je n’ai pas réussi à me faire entendre, ni à populariser ma découverte.  J’ai une approche de physicien (j’oublie de préciser autodidacte), aucun scientifique n’a jamais contesté ma démarche. J’ai déjà aidé des proches à se débarrasser avec succès de leur infection, en quelques jours. 

 « Ce soir j’ai le nez pris et ma à la gorge, je présente des signes du covid. Je vais m’en occuper. »

Installé sous perfusion dans ma chambre, seul, branché à un appareil qui mesure mes données physiologiques en permanence, je patiente à peine quelques minutes, une infirmière protégée par une sur-blouse en papier, des gants un masque, une charlotte, des couvre-chaussure en papier, m’apporte les deux couvertures et m’annonce que la température de la chambre est portée à 24°.

En plus de mon équipement de surveillance on me place une sonde. En m’expliquant que dans la perf est ajouté du Lasilix pour me faire évacuer le maximum d’eau de mes tissus.

Après un repas léger une piqûre pour fluidifier le sang, un test de ma glycémie, une prise de température et de tension, je me retrouve seul.

Il est 22 heures. Je me suis habillé pour la nuit, : un caleçon, un t-shirt et un fin sous-vêtement en polaire.  Je tousse deux, trois fois, à chaque fois la sonde bouge, je crains de m’écorcher la vessie, c’est légèrement douloureux.

Le pire est à venir.

Pendant six heures, jusqu’à 4 heures du matin, je vais avoir des crampes. Des orteils jusqu’au-dessous du genou, malgré les cachets de potassium, qui ne me calment que quelques minutes.

 

Ajoutez à cela que mon traitement anti-covid me fait abondamment transpiré. Cette nuit-là, je vais me changer trois fois, avec une seule main libre.

Mais à deux heures du matin le 19 janvier, mon nez cesse de couler, ma gorge de m’irriter, d’un coup !.

Les crampes me demandent beaucoup d’attention, j’essaie de faire des étirements et des exercices de relaxation pour ne pas appeler ma mère.

A 4 heures du matin, je sonne l’infirmière de garde et lui demande de me retirer la perf qui m’inonde la Lasilix, » je ne joue plus ! », je lui lâche sur un ton  ferme.

Paradoxalement, je triomphe.

Isolé dans une chambre sans fenêtre, je suis convaincu d’avoir endigué mon covid.

Je vais rester six jours et six nuits en soins intensifs. La sonde me sera retirée après 48 heures après m’avoir permis d’évacuer  7,5 litres d’urine !

Je suis sous Trulicity, un médicmaent que je prends par injection tous les huit jours, pour contrôler mon diabète. Il est efficace, mais me provoque des remontées gastriques.

Je me pique le mercredi, n’ayant pas la piqûre, il est convenu avec les médecins que l’on reporte de 24 heures.

Le jeudi matin j’ai une glycémie normale. Je n’ai jamais eu un chiffre aussi bas à jeun de toute ma vie : 0,96. Au moment de la visite du cardiologue, je lui fais part de ma surprise, nous convenons de ne pas utiliser le truglicity pour le moment.

J’ai constaté que je ne tousse plus, le cardiologue m’indique que je faisais un asthme cardiaque, et que c’est terminé après l’évacuation des 7,5 litres.

Je lui indique que je suis débarrassé du covid. Mon traitement a marché. Il reste impavide, et repart vers d’autres malades.

Le dimanche qui suit mon arrivée, je suis transféré dans une chambre en cardio2.

Je reste isolé, mais au moins, ici il y a une fenêtre. Mon test PCR est encore légèrement positif.

Je vais rester hospitalisé jusqu’au mardi 2 février.

Je dois subir une opération pour trois pontages, mais j’ai un autre problème qui nécessite une reprise de force. Je serai opéré le 2 mars.

Mon site covid19vaincu.com, a reçu de nombreuses visites du personnel soignant.

J’ai eu des retours positifs des infirmières et infirmiers, rien de plus.

 

Je suis habitué depuis fort longtemps, à cet état de fait.

La solution extracorporelle que je propose marche, mais elle porte une profonde transformation du traitement médical.