logo-hct-covid19.com
Image de diaporama

 

Hémocalorthérapie
Guérir du coronavirus et des maladies virales ?

» Courrier à Jean CASTEX du 04/11/2022

Courrier à Jean CASTEX du 04/11/2022

mercredi 18 mai 2022

A Monsieur Jean CASTEX

Premier ministre de la République française

 

Saint-Brice, le 4/11/ 2021

 

Monsieur le Premier ministre,

Votre politique sanitaire contre l’épidémie va au-devant de graves difficultés.

Votre entourage scientifique ne prend pas en compte les caractéristiques premières du coronavirus : une protéine inerte, composée d’une molécule d’ARN entourée d’une fine couche de lipide (graisse).

Le  covid19 est inerte dans la nature, autosuffisant sans aucun besoin vital, ce qui lui permet une fois créé de se déplacer sans contraintes au gré des courants d’air.

Le problème de la recrudescence de l’infection est directement lié à son enveloppe.

La graisse durcit au froid.

Plus les températures baissent, plus le pouvoir contaminant d’un coronavirus est démultiplié parce que plus résistant aux frottements qui le détruisent par beau temps.

De combien de temps l’augmentation du pouvoir contaminant est-elle multiplié au froid ?  De 1 à 10, voire plus.

 

La vaccination aurait été une bonne solution si les taux de protection avancés par les labos s’étaient avérés.

Sur une population vaccinée à 70%.

15 à 20 % n’ont pas fabriqués d’anticorps.

30% du solde ont des protections anciennes de plusieurs mois et sont de nouveau vulnérables ou vecteurs du virus.

Tous confiants dans leur pass sanitaire, cette population  respecte moins les gestes barrières.

La promiscuité libérée dans un grand nombre de lieux fermés ajoutée à cette déficience collective, provoquera une reprise lente mais constante de l’épidémie, une quinzaine de jours après les vacances de la Toussaint, la situation sera alarmante.

Cette nouvelle vague entraînera une défiance à l’égard des vaccins.

Je rappelle ici qu’Astra zeneca annonçait 85 % d’efficacité, il y a quelques mois, comme le johnson et johnson ou le Jansen, voire le Spoutnik russe, tous ont sombré confronté au covid19.

 

L’hémocalorthérapie guérit du coronavirus en appliquant trois lois de physique incontestables.

  1. La température de fusion de la graisse (ici de la lipide) est de 40° Celsius.
  2. Le sang est un liquide turbulent complexe. Il véhicule divers composants de densité variable, à 2,5 km/h à chaque battement du cœur.
  3. En tant que liquide turbulent complexe, il est soumis à la mécanique des fluides.
  4. Si le malade est exposé dans un milieu chaud ; une chambre chauffée à 24°, couché chaudement vêtu sous une ou deux couettes, la température ambiante va monter la température corporelle autour de 38°. L’enveloppe du coronavirus devient très instable, hésitant entre l’état solide et l’état liquide. Les frottements dus à la mécanique des fluides vont déchirer son enveloppe fragilisée et provoquer sa désagrégation.

 

C’est un traitement extracorporel sans effet indésirable, facile à mettre en œuvre individuellement par le public.

Mes proches, positifs au covid19 se sont guéris grâce à lui, en quelques jours.

 

Plus largement, les sportifs de haut niveau positifs, ont été mis en confinement. Pendant celui-ci, ils ont continué leur entraînement individuel et se sont gardé de prendre du paracétamol, par crainte due aux contrôles anti-dopages.

L’effort physique fait monter la température jusqu’à 38,2°, en moyenne, et accélère le rythme cardiaque ; les deux facteurs déterminants dans l’élimination du coronavirus. Aucun sportif au cimetière.

 

En ces temps difficiles pour tous, je porte un espoir extraordinaire, qui se heurtent à plusieurs écueils. Le premier est la validation d’une thérapie extracorporelle pour guérir d’une affection virale.

C’est à rebours de la recherche médicale intracorporelle (médicaments et vaccins), alors que ses échecs sont très nombreux en quelques mois : hydroxychloroquine, resemdivir, ivermectin. Avec, à chaque fois, des cobayes qui ont pris le chemin de la morgue.

Le dysfonctionnement entre la démonstration scientifique que je porte et les silences dilatoires des autorités médicales construisent une somme de handicaps permanents qui retardent l’action.

Sans aval politique la BPI, l’ADEME, ou les banques privées ne sont intéressées à soutenir le projet.

Il suffirait de 300.000 euros pour fabriquer et tester le générateur extracorporel capable de résoudre les cas les plus graves. 500 unités couvriraient les besoins de tout le territoire national.

Les équipes d’hémodialyses seraient formées en quelques jours pour sa manipulation.

Ici, ce n’est pas la démarche technologique qui inquiète les milieux médicaux,, mais bien les champs d’application de l’hémocalorthérapie à d’autres maladies virales.

Exemple : les poches de sang à destination des transfusés sont chauffées à 43° depuis 1985, pour éviter tout risque de contamination par le virus du sida.

Ces traitements extracorporels du sang sont une piste de recherche d’avenir incontestable.

Le bouleversement de l’économie médicale qu’ils vont engendrer sont un handicap à surmonter par la puissance publique.

Voilà toutes les bonnes raisons qui me conduisent à me tourner vers vous, Monsieur Jean CASTEX, Premier ministre de la République française.

 

En conclusion j’émets deux souhaits.

Le premier c’est que la vague qui s’annonce soit retenue par la vaccination et le pass sanitaire suffisamment longtemps.

Le second, c’est que l’hémocalorthérapie soit développée parallèlement,  rapidement pour sa version « guérison à la maison », il ne s’agit que de quelques lignes d’informations.

Le caractère « révolutionnaire » de ma démarche me ferme toutes les portes des rédactions, si promptes à tendre le micro aux lanceurs d’alerte.

Dans quelques semaines, en désespoir de cause, si rien ne bouge dans le sens de l’hémocalorthérapie, je porterai plainte contre « X ».

 

Je vous remercie Monsieur le Premier ministre de l’attention que vous aurez bien voulu porter à ce courrier.

Je vous présente mes respectueuses salutations.

Jean COZIC

Covid19vaincu.com